Le chef de la diplomatie britannique et l'actrice américaine, envoyée spéciale du Haut-commissariat de l'ONU pour les réfugiés (HCR), font d'abord étape au Rwanda avant de se rendre dans la République démocratique du Congo voisine.
Lors de ce déplacement, ils devraient rencontrer des victimes de violences sexuelles, des associations locales et des organisations de l'ONU qui les soutiennent, a précisé le ministère britannique des Affaires étrangères dans un communiqué.
Ils rencontreront aussi des responsables politiques pour évoquer avec eux la nécessité de trouver une solution pérenne au conflit entre l'armée congolaise et le Mouvement du 23 mars (M23) dans la province du Nord-Kivu (est), théâtre de nombreux viols, selon des ONG.
"Le viol est souvent utilisé comme une arme de guerre dans les zones de conflit dans le monde", a souligné William Hague dans ce communiqué.
"Mais trop souvent encore, la communauté internationale détourne les yeux" et "les auteurs de ces crimes brutaux ne sont pas inquiétés", a ajouté le ministre, qui a souhaité la fin de "cette culture d'impunité".
"Il est temps que la communauté internationale dise que l'utilisation du viol comme une arme de guerre est inacceptable, de livrer à la justice leurs auteurs et d'en finir avec l'opprobre sur les victimes", a-t-il poursuivi, promettant de faire de ce combat sa "priorité personnelle" lors de la rencontre des ministres des Affaires étrangères du G8 en Londres en avril.
"Nous voulons persuader les gouvernements de donner à ce problème toute l'attention qu'il mérite", a déclaré pour sa part Angelina Jolie, précisant que cette visite leur permettrait "avant tout d'entendre directement les victimes de viols et de violences sexuelles pendant le conflit en RDCongo".
Lors de ce déplacement, ils devraient rencontrer des victimes de violences sexuelles, des associations locales et des organisations de l'ONU qui les soutiennent, a précisé le ministère britannique des Affaires étrangères dans un communiqué.
Ils rencontreront aussi des responsables politiques pour évoquer avec eux la nécessité de trouver une solution pérenne au conflit entre l'armée congolaise et le Mouvement du 23 mars (M23) dans la province du Nord-Kivu (est), théâtre de nombreux viols, selon des ONG.
"Le viol est souvent utilisé comme une arme de guerre dans les zones de conflit dans le monde", a souligné William Hague dans ce communiqué.
"Mais trop souvent encore, la communauté internationale détourne les yeux" et "les auteurs de ces crimes brutaux ne sont pas inquiétés", a ajouté le ministre, qui a souhaité la fin de "cette culture d'impunité".
"Il est temps que la communauté internationale dise que l'utilisation du viol comme une arme de guerre est inacceptable, de livrer à la justice leurs auteurs et d'en finir avec l'opprobre sur les victimes", a-t-il poursuivi, promettant de faire de ce combat sa "priorité personnelle" lors de la rencontre des ministres des Affaires étrangères du G8 en Londres en avril.
"Nous voulons persuader les gouvernements de donner à ce problème toute l'attention qu'il mérite", a déclaré pour sa part Angelina Jolie, précisant que cette visite leur permettrait "avant tout d'entendre directement les victimes de viols et de violences sexuelles pendant le conflit en RDCongo".
William Hague et Angelina Jolie au Rwanda et en RDC contre les viols de guerre
Revu par MB
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19:29:00
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