C'est dans le magazine féminin Elle que l'humoriste Nicolas Bedos s'est laissé aller sur sa presque idylle avec Julie Gayet.
Avant de devenir une possible raison de la rupture entre François Hollande et Valérie Trierweiler, Julie Gayet était le fantasme de Nicolas Bedos. Peut-être l’est-il encore, d’ailleurs. L’humoriste est revenu sur son lien avec la comédienne de 41 ans dans le magazine Elle, déjà habitué aux confidences amoureuses du fils de Guy. Avant de rencontrer Julie Gayet, Nicolas Bedos la découvrait au cinéma, sous les traits de Clara dans Clara et moi (2004).
C’est à partir de ce film que le chroniqueur se pris d’affection pour l’actrice, « celle qu’on rêve d’épouser mais qu’on n’a pas forcément envie de bousculer dans son lit ».
Mais c’est après quelques « brutales érections », causées par la prestation de la jeune femme dans Lovely Rita (2003), que Nicolas la considérera telle la femme « qu’on rêve d’épouser dans un lit ».
Il finira par rencontrer l’instigatrice de toutes ces émotions, et comprendra, de par la manière dont Julie abordait le sujet du sexe, qu’il n’aurait pas l’occasion de le pratiquer avec elle. Ce qui ne l’empêcha pas de convier la belle à le rejoindre dans sa « chambre minuscule », pour une poursuite du « débat en position horizontale ». Il précisera avoir passé la nuit « à côté d’elle » et non « avec elle ».
Nicolas Bedos tentera une nouvelle approche, le lendemain, devant le film Avatar qu’il était parti voir avec Julie Gayet. Mais rien n’y fit, ces deux-là n’étaient sans doute pas destinés à s’entendre davantage.
Avant de devenir une possible raison de la rupture entre François Hollande et Valérie Trierweiler, Julie Gayet était le fantasme de Nicolas Bedos. Peut-être l’est-il encore, d’ailleurs. L’humoriste est revenu sur son lien avec la comédienne de 41 ans dans le magazine Elle, déjà habitué aux confidences amoureuses du fils de Guy. Avant de rencontrer Julie Gayet, Nicolas Bedos la découvrait au cinéma, sous les traits de Clara dans Clara et moi (2004).
C’est à partir de ce film que le chroniqueur se pris d’affection pour l’actrice, « celle qu’on rêve d’épouser mais qu’on n’a pas forcément envie de bousculer dans son lit ».
Mais c’est après quelques « brutales érections », causées par la prestation de la jeune femme dans Lovely Rita (2003), que Nicolas la considérera telle la femme « qu’on rêve d’épouser dans un lit ».
Il finira par rencontrer l’instigatrice de toutes ces émotions, et comprendra, de par la manière dont Julie abordait le sujet du sexe, qu’il n’aurait pas l’occasion de le pratiquer avec elle. Ce qui ne l’empêcha pas de convier la belle à le rejoindre dans sa « chambre minuscule », pour une poursuite du « débat en position horizontale ». Il précisera avoir passé la nuit « à côté d’elle » et non « avec elle ».
Nicolas Bedos tentera une nouvelle approche, le lendemain, devant le film Avatar qu’il était parti voir avec Julie Gayet. Mais rien n’y fit, ces deux-là n’étaient sans doute pas destinés à s’entendre davantage.
Nicolas Bedos : une histoire avec Julie Gayet ?
Revu par MB
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11:38:00
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